Antibio

Fatigués de relire sans cesse la même biographie de la Ocho dans les programmes des salles et même les articles de presse, nous avons réécrit celle-ci en mode Antibio. Impossible de résister à vous la faire partager :

Antibio Ocho

Sans aucune expérience de la scène, ni même de connaissances musicales, ce combo de 11 « musiciens » dépourvus de toute âme et de toute énergie, est capable de casser l’ambiance de n’importe quelle soirée.

En effet, miné par une rythmique chancelante, affublé d’une « section » de cuivres à pleurer et d’une paire de chanteurs consternants, le répertoire déjà mauvais de la Ocho Y Media se transforme rapidement en une véritable insulte à la musique et au bon goût.

Un jeu de scène d’une monotonie totalement soporifique, complété par des tenues de scène catastrophiques, des compositions insoutenables (« c’est vraiment, vraiment, un joyeux anniversaire », « Ochozéro, zéro »), un taux d’alcoolémie record, font de la Ocho Y Media un groupe beaucoup plus proche de Vol au dessus d’un nid de coucou que de la Flûte Enchantée, du cauchemar que de la musique, bref de la sortie que de l’entrée. 

Principaux Ochoconcerts 2000-2003 (en 4 ans)

Le bar de Roger à St Lo (une fois)

La pendaison de crémaillère du pianiste  (une fois)

Le squatt de la rue la Boétie (une fois)

L’anniversaire de la tante de la bongocera  (une fois)

L'inauguration d'une pizzéria lyonnaise (une fois)

L’anniversaire d’un ivrogne rencontré dans un bar de Versailles (une demi fois, jusqu’à l’arrivée de la police)

etc.